Nous vous invitons à faire connaissance avec Tristan Tièche, le nouveau doyen de l’Espace Entreprise.

Présentez-vous brièvement: 

Je m’appelle Tristan Tièche. J’ai 38 ans. Je suis né et j’ai grandi à Genève. Je suis marié et j’ai 2 enfants de 11 ans et 8 ans.

Quel est votre parcours de formation?

Après le collège de Staël où j’étais pendant 4 ans, je ne savais pas trop ce que je voulais faire, du coup j’ai décidé de poursuivre mes études dans 2 domaines que j’aimais bien: l’histoire et le français. J’ai été à l’Université de Genève dans la Faculté des Lettres, donc ça m’a beaucoup servi pour ma culture générale.

La découverte du métier d’enseignant.

Pendant mes années universitaires j’ai fait beaucoup de remplacements dans différentes écoles et collèges et ça m’a permis de découvrir le métier d’enseignant. En parallèle je travaillais aussi le soir en donnant des cours de basket et chaque été je m’inscrivais chez Adecco et puis je faisais des petits jobs. Pendant ma dernière année à l’Université j’ai travaillé aux services Industriels de Genève en tant qu’assistant administratif.

Toutes ces expériences m’ont permis de découvrir plein de métiers différents. J’aurais pu devenir enseignant à la fin de mes études, mais j’ai préféré continuer à explorer d’autres choses.

Quel est votre parcours professionnel?

Par hasard j’ai trouvé une petite annonce pour un stage de 6 mois dans la communication interne dans une grande entreprise qui s’appelle STMicroelecronics et j’ai postulé là-bas. J’ai travaillé 3 ans dans cette entreprise, puis 2 ans ensuite dans une joint-venture entre STMicroelecronics et Ericsson qui s’appelait ST-Ericsson.

Ce qui était intéressant en terme de communication, c’était de créer toute l’identité d’une nouvelle entreprise. On a énormément travaillé, sans compter nos heures. C’était un rythme très intense, du coup lorsque j’ai eu mon premier enfant, j’ai eu envie de changement.

J’avais envie de travailler dans un domaine plus concret et puis j’ai trouvé un travail chez Patek Philippe, où j’ai travaillé pendant 5 ans dans le département de la Communication interne. De nouveau, j’ai beaucoup appris et ce que j’ai aimé c’est d’être en contact avec différents départements de l’entreprise.

Quel est votre parcours à l’EE? 

A un moment, j’ai eu envie de transmettre à des jeunes tout ce que j’ai appris pendant 10 ans en entreprise. C’est là que j’ai entendu parler de l’EE. J’ai travaillé pendant 2 ans en Communication interne et après 3 ans en Communication institutionnelle. Et depuis cette année je suis doyen et je continue à suivre des apprenti.e.s qui sont en stage individuel chez le client (stage en immersion).

Pourquoi avez-vous choisi d’occuper ce poste de doyen?

Quand le poste de doyen s’est ouvert j’ai décidé de postuler. J’avais envie de m’investir autrement pour l’EE. De continuer le travail effectué depuis mon arrivée mais sous un autre angle.

Qu’est-ce-que vous aimez dans cette fonction?

J’aime le fait d’avoir un contact régulier avec mes collègues du Comité de Direction, mais aussi de conserver un contact quotidien avec les formateurs et formatrices et aussi avec les stagiaires.

Quels sont les objectifs que vous vous êtes fixés pour ce poste?

Je vois ce travail comme un moyen d’aider mes collègues formateurs et formatrices à accomplir leur mission de formation dans les meilleures conditions.

Comment avez-vous été accueilli par vos collègues?

Vraiment très bien, ils m’aident beaucoup. Évidemment c’est un peu comme un nouveau métier que je découvre, donc il y a plein de choses à faire qui sont nouvelles pour moi et puis chaque fois que j’ai des questions, ils sont là pour me répondre et m’aider.

Quels sont vos centres d’intérêts?

Je suis un grand fan de basket. J’y joue depuis 1992, ce qui a déclenché ma passion c’est la Dream Team de Barcelone. Depuis, je n’ai pas arrêté d’y jouer, en club. Je joue d’ailleurs toujours en 3e ligue à Onex et je suis le championnat NBA attentivement. Et puis sinon j’aime bien tous les sports de glisse, comme le snowboard où le surf sur l’eau.

Article rédigé par Maria Chucherova