La crise que connaît le monde avec le COVID-19 a logiquement poussé l’Espace Entreprise à faire certains changements pour s’adapter. Cinq apprentis ont posé des questions à différent.e.s acteurs.trices de notre établissement. Les formatrices de l’équipe Youth for soap, en charge du projet du même nom, ont répondu à leurs questions.

“Ce que nous voyons, c’est que depuis le 13 mars, les collègues et nous travaillons énormément pour assurer la continuité de la formation pour nos jeunes.

Même si le rythme est moins élevé, le fait de travailler depuis la maison et de ne plus avoir d’horaires fixes fait que nous travaillons un peu en continu.Les apprenti.e.s ont parfois de la peine à organiser leur temps et leur travail. C’est donc à nous de nous adapter. Le plus important à mon avis est que les apprenti.e.s ne se sentent pas seul.e.s.”

Les apprenti.e.s ont tous/toutes vite maîtrisé les outils et ont l’air d’être assez motivé.e.s, mais ce sera peut-être difficile de garder le rythme à long terme.

Pour poursuivre notre travail habituel, nous avons dû non seulement adapter le rythme, le type de tâches et les attentes en raison des circonstances particulières.

Nos différents projets nous amènent beaucoup à être en contact avec l’extérieur : partenaires, entreprises, organisations, etc. En ce moment cela est fortement ralenti pour des raisons évidentes. Par exemple, l’émission de radio du mois d’avril, en partenariat avec Radio Cité, sera consacrée au confinement. Au départ, nous devions faire une émission sur la “fast fashion” et interviewer différents acteurs du changement à Genève.

En parallèle, nous avançons sur le travail de fond en faisant des recherches et en préparant le marketing pour notre projet principal Youth for soap.”

Article rédigé par @adrian-schpp